samedi 6 septembre 2014

Enfin les vacances !

Le titre se suffirait presque à lui-même ! Et n'y voyez aucune volonté narquoise de ma part, quelques jours seulement après la rentrée, ce serait mal me connaître. (On ne rigole pas, là au fond ! )

Me voici donc en vacances, pour la seconde fois de l'année. La première fois, c'était en mai, et nous avions profité de l'occasion pour nous réfugier dans les Vosges et assister aux Imaginales d'Épinal. Cette fois, nous n'aurons pas une telle opportunité.




En revanche, je vais enfin avoir le temps d'écrire autant que je le souhaite, ce qui n'était pas le cas ces jours-ci. Au programme : la fin de la première vague de corrections d'Essence d'Asphalte, la même chose pour l'Aigle Décharné, une nouvelle uchronique fantastique, et la rédaction d'une autre nouvelle de fantasy. Car oui, après Essence d'Asphalte, j'avais envie de revenir à des textes plus courts, pour répondre à quelques AT qui me font envie. 

Passer du roman à la nouvelle est moins déroutant que de faire le cheminement inverse. Je retrouve le format court avec un certain bonheur, même si le format roman me manque par d'autres aspects, comme l'attachement aux personnages. Les deux formats procurent leur lot de plaisir, mais ce sont des saveurs différentes. J'en reparlerai d'ici peu en détails. 

Que ce soit des nouvelles ou des romans, ma faim d'écriture grossit chaque jour. Une foule d'histoires, prêtes à être couchées sur papier, se bouscule aux portes de mes mains, poussée par les claquements de fouet et le rire strident de Mme Muse, totalement hystérique. Elle voudrait faire de moi un esclave du fordisme, me faire travailler à la chaîne sur les récits dont elle m'a déjà soufflé les idées. En temps normal, je me rebelle au moins un peu. Mais ces jours-ci, je vais la laisser faire. J'adorerais pouvoir lui laisser les rênes de mes mains plus longtemps, mais mes obligations professionnelles me l'interdisent.




Certains parmi vous disent que je vais tellement vite à écrire que l'on a du mal à me suivre. Moi je trouve que je suis toujours trop lent ! Pendant ces quelques jours, au moins vais-je pouvoir me lâcher sur le clavier de mon PC portable. Et si vous ne me voyez pas passer par ici, ce sera simplement parce que j'enchaînerai les pages, le regard noyé dans l'écran, les doigts sautant de touche en touche, comme en transe. De temps en temps, quand mes yeux me feront l'effet de deux boules de feu, je penserai peut-être à m'arrêter, sortir de prendre l'air.... Peut-être ! 

À très bientôt et bon courage !

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